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Affichage des articles associés au libellé Reseaux sociaux

Facebook, un faux ami en cas de rupture amoureuse

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Après une séparation, rester connecté en tant qu'«ami» avec l'ex-partenaire bloquerait le processus de guérison émotionnelle et l'épanouissement personnel. Confronté à la difficulté d'une rupture amoureuse, certain(e)s éprouvent le besoin de rester en contact avec leur ex-partenaire, au moins pendant une courte période. Avec Facebook, cela devient possible puisque la vie intime de chacun y est exposée quasi-publiquement. Selon le travail de la psychologue Tara C. Marshall, publié dans la revue Cyberpsychology, Behavior, Networking , la star des réseaux sociaux, en facilitant le contact avec l'ex-partenaire, empêcherait d'aller de l'avant après une séparation.  Pour parvenir à ces résultats, ses équipes ont interrogé 464 participants dont la grande majorité sont des jeunes femmes américaines en âge d'entrer à l'Université. Ces dernières se sont exprimées sur le souvenir d'une ruptur

Google+ visité seulement 3 minutes par mois

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A en croire comScore, le réseau social de Google est une place presque déserte comparée aux plus de 6 heures passées par mois sur Facebook par ses utilisateurs .     Les utilisateurs de Google+, le réseau social de Google, y passent en moyenne 3 minutes par mois selon comScore, contre 6 à 7 heures pour les inscrits à Facebook. Google+ a beau être la "couche sociale" des services du moteur de recherche et pas seulement un site de destination, la comparaison fait mal. Google a expliqué que tous les indices mesurés sur Google+ étaient néanmoins en croissance, mais sans préciser lesquels il suit. Source :  http://lexpansion.lexpress.fr    

Les rebelles de Facebook, ou comment résister aux réseaux sociaux

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Les plus de 800 millions d'utilisateurs qui ont adopté Facebook depuis 2004 ont fait du réseau social un phénomène de société, mais de nombreux rebelles, technophobes ou gardiens jaloux de leur vie privée, se refusent encore à plonger dans l'internet communautaire. Le réseau fondé en 2004 par Mark Zuckerberg, alors étudiant à l'Université de Harvard, a déposé mercredi le dossier de ce qui s'annonce comme la plus grosse introduction en Bourse jamais réalisée par la net-économie, chiffrée pour le moment à 5 milliards de dollars. Huit ans après sa création, Facebook est de toutes les conversations et on ne sait plus trop si les relations sociales "physiques" sont influencées par les réseaux sociaux numériques ou si ces derniers déterminent les premières. C'est justement ce que ne peuvent accepter les rebelles du XXIe siècle qui refusent de rejoindre Facebook: la pression de leur entourage, qui réclame à cor et à cris qu'il rejoignent la f

Le FBI veut espionner les réseaux sociaux

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Après la récente fermeture de Megaupload, le célèbre Bureau of Investigation chercherait désormais à surveiller les réseaux sociaux et leur usage par des individus potentiellement dangereux. Le FBI a mis en ligne sur le site du Centre Stratégique de l’Information et des Opérations (SIOC) un appel d’offre pour le développement d’une application “pour médias sociaux”. Cette dernière devra être capable d’espionner les contenus publics postés sur des réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter ou encore Myspace. Il devra par la même occasion être en mesure de détecter certains mots et phrases clés renseignant sur un événement en cours ou susceptible de se produire. L’application devrait permettre au gouvernement américain d’anticiper de possibles intentions terroristes ou de troubles de l’ordre public. Elle doit être, selon l’annonce en ligne, flexible et facilement adaptable à la prise en compte de nouveaux paramètres. Les résultats fournis permettront au FBI d’ajuster se