Articles

Affichage des articles associés au libellé Redhat

Linux : Oracle drague les utilisateurs Red Hat

Image
Initialement limitée à Oracle Linux, Fedora et Ubuntu, l'offre de mise à jour à distance du noyau Linux commercialisée par Oracle s'étend désormais à Red Hat Enterprise Linux. Oracle commercialise un service de mise à jour à distance du noyau Linux à chaud (c'est-à-dire sans nécessiter de redémarrer la machine). Il permet de mettre à niveau le kernel ou en corriger les bugs.  Baptisée Ksplice , cette offre issue du rachat l'année dernière de la société éponyme ne s'appliquait jusqu'ici qu'à la distribution Linux du groupe (Oracle Linux), mais aussi à Fedora et Ubuntu. L'éditeur a annoncé qu'elle était désormais mise à la disposition des utilisateurs de Red Hat Enterprise Linux 5 (et 5.4) et Linux 6 . Une offre d'essai gratuite de 30 jours leur est offert. Comment Ksplice procède-t-il pour réaliser ses mises à niveau à chaud ? Il gère les mises à jour en se situant au niveau du code objet (c'est-à-dire du code compilé), et non pas

Red Hat Enterprise Virtualization 3.0 est là

Image
Red Hat annonce la disponibilité mondiale de Red Hat Enterprise Virtualization 3.0, pour la virtualisation des serveurs et des postes de travail, ainsi que son hyperviseur basé sur la technologie de machine virtuelle KVM (Kernel-based Virtual Machine). La virtualisation ouverte a gagné en visibilité depuis quelques mois, grâce au projet oVirt ou encore à l’Open Virtualization Alliance. Membre fondateur de cette dernière, Red Hat collabore avec de grands noms de l’industrie afin de promouvoir l’approche KVM. Quant à oVirt, projet Open Source soutenu par plusieurs leaders de l’industrie, dont Red Hat, il "encourage le développement de technologies Open Source de gestion de la virtualisation." A ce jour, 50 % environ des plus gros clients de Red Hat, en termes de CA, sont en train de déployer Red Hat Enterprise Virtualization ou sont en phase pilote. Beaucoup également adoptent les stratégies de virtualisation doublées, puisque plus de 80 % de ceux qui déploient