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Des centaines de Chinois ont visité la page du président américain Barack Obama sur Google+ et laissé des commentaires acides sur la situation des droits de l'Homme en Chine, profitant apparemment d'une faille de la censure chinoise. Google+, l'outil de personnalisation du web qui se rapproche d'un réseau social du type Facebook, est en général inaccessible en Chine, depuis son lancement par Google en 2011. Pékin a mis en place une censure de l'internet très perfectionnée, surnommée le «Great Firewall», jeu de mot en anglais qui mélange les termes «Grande Muraille» («Great Wall») et pare-feu («firewall»). Mais ces derniers jours, des internautes chinois sont parvenus à accéder au site et se sont concentrés sur la page Google+ du président américain , avec des commentaires centrés autour des droits de l'Homme, de la liberté, et de sujets plus terre à terre, tels que l'obtention d'une carte verte pour séjourner aux États-Unis. «Beaucoup de

À la fin de l’année, la Chine comptait 513 millions d’internautes, pour un taux de pénétration de 38,3% Internet gagne du terrain en Chine. Les chinois sur la toile comptaient 250 millions de microblogueurs en 2011, soit quatre fois plus qu’en 2010. Ce sont aussi près de la moitié d’internautes chinois qui utilisent ces services de publication instantanée de messages courts, d’après les informations du Centre d’information d’internet de Chine (CNNIC) fournies lundi. Si Twitter, le réseau social de microblogging le plus populaire au monde, est toujours interdit sur le territoire, les chinois utilisent à la place Weibo, qui permet tout comme son aîné de partager des messages de 140 caractères maximum. D’après le CNNIC, la Chine comptait 513 millions d’internautes à la fin décembre 2011, pour un taux de pénétration de 38%. En décembre, les autorités ont renforcé les contrôles de sites de microblogging, jugés dangereux à cause de leur capacité à propager rapidement l’info

  La Chine, on aime y délocaliser les usines pour payer la main d'oeuvre moins cher et ses coûts de productions moindres, en passant outre, volontairement ou non, des conditions de travail aux antipodes des nôtres. Microsoft vient d'en faire les frais et subi actuellement une bien mauvaise publicité, sa Xbox 360 étant associée au dernier drame social en date dans une usine Foxconn.   Le 2 janvier dernier, les ouvriers d'une usine Foxconn ont menacé de se jeter du toit de leur entreprise, tous ensemble, pour manifester leur profond désarroi. Selon des sources chinoises anti-gouvernementales, ces ouvriers avaient obtenu le droit aux indemnités de départ en cas de démission, ce qui en pratique n'a jamais été le cas. Foxconn est réputé pour quelques mêmes incidents du genre, mais l'entreprise ne semble pas inquiétée pour ses pratiques douteuses envers ses employés. Microsoft de son côté, promet de veiller à la sécurité de ces ouvriers, mais aussi et trè